Je m’appelle Olivier, je suis éducateur spécialisé, diplômé du Cégep du Vieux-Montréal, spécialisé en Thérapie Cognitivo-Comportementale ainsi que dans l’accompagnement des troubles anxieux.
Par où commencer ma présentation? Difficile! Mais commençons, si vous le voulez-bien, par une question.
Pourquoi?
Mon métier n’est pas vécu comme un métier, mais comme une passion, pour ne pas dire une vocation. Je dois cet intérêt à plusieurs personnes.
La première : ma mère. Enseignante, je la rejoignais souvent dans son école après les cours. Voire même certains matins, lorsque j’avais congé. Elle m’a appris la passion de la transmission.
La deuxième : mon enseignant de 5e et 6e année au primaire. Enseigner la matière et enseigner le savoir-être : voilà ce qui animait cet homme, qui savait se montrer doux, drôle, et ferme lorsque nécessaire. Cet équilibre m’a marqué. Et aujourd’hui, lorsque je me vois dans ma profession, je pense à lui. Je retiens une chose de lui : « avoir l’amour du travail bien fait ».
La découverte d’un intérêt

Mon parcours s’enracine en tout premier lieu dans l’accompagnement des jeunes, enfants et adolescents. Ayant fait du scoutisme durant 13 ans, dans lequel les notions d’effort, de progression (mais toujours selon son mieux et jamais selon ce que veulent les autres) et d’entraide gratuit sans rien attendre en retour m’ont modelées comme de l’argile.
Un jour, je fus invité à participer à plusieurs procès auprès d’un juge pour mineurs, en Allemagne. J’y vis se succéder plusieurs accusés. La similitude entre tous les prévenus? Tous un peu « pommés », ayant commis des petits larcins de droits communs. Tous devant le juge. Et tous condamnés. La journée passa, et je déambulais dans les rues de la ville. Je pris conscience de deux choses : ces jeunes n’avaient probablement pas eu la chance de croiser la bonne personne dans leur vie pour les aider et les inciter à se tenir droits. Et moi, aspirant avocat à ce moment là, je n’étais pas du bon côté de la barrière. Je ne me suis pas senti investi d’une mission, ni même m’estimer devoir prendre un rôle de sauveur. Les jours et les semaines ont passés, et mon intérêt pour cette dimension grandissait.
Éducateur spécialisé
Je fis ma formation d’éducateur spécialisé à Montréal. Une fois ma formation en poche, mon domaine de prédilection ne pouvait être autre chose que les jeunes, surtout en milieu scolaire. C’est ainsi que depuis plusieurs années (2011), je travaille comme éducateur spécialisé à l’École Lucien-Guilbault, école primaire/secondaire spécialisée dans les difficultés et troubles graves d’apprentissage et troubles associés. L’humain y vit ici à fleur de peau. Les élèves y sont au naturel. Et moi (et mes extraordinaires collègues) travaillons forts avec eux, pour les « tirer vers le haut ». « Avoir l’amour du travail bien fait », même s’il te manque des forces pour y parvenir . Ce que j’ai appris de mon « maître » d’école étant enfant (c’est comme cela que l’on appelait mon enseignant!), je le transmets à mon tour.
Une profession diversifiée
Je ne me limite pas à aider les jeunes; les adultes croisés sur ma route bénéficient également de mes ressources, pour accompagner la personne vers la découverte de ses propres talents, de ses propres forces.
J’ai donc réalisé des suivis et accompagnements de personnes d’âge adulte, dans différents sujets et projets. Mais tous rejoignent les thèmes de l’autonomie personnelle, la réussite, la découverte et le dépassement de soi, ou tout simplement le passage d’une difficulté temporaire mais complexe et qui demande un regard extérieur et neutre.
Je mets aujourd’hui mon expertise au service de tous, avec comme seul objectif : amener la personne à se découvrir plus profondément, et l’amener à se prendre en main par elle-même.
Adaptation – Intégralité – Évolution – Progression
voici mon plan de réussite proposé à chaque personne rencontrée.